LE CONTEXTE :
aux échos de la mer en émoi, les effluves salins se dispersent
aux matins des tempêtes outrageuses. quand s’emportent les fêtards, tohubohu disgracieux en terre sainte,
s’affairent leurs cendres à la marée haute qui les emporte. à ce solstice d’été sonnant le dernier coup
de minuit, les
chimères regagnent le bitume à l’éveil, brûlant leurs désolants mensonges.
et les morts-vivants dansent, alors c’est la fête des funestes états d’âme. couteaux tranchants,
guérilla sanglante mène la cadence. jusqu’à l’
avarice, elle qui les trainera tous au fond des abysses.
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